Badinter au Panthéon, grotesque et mortifère
Ce soir, une nouvelle figure funeste de cette République entrera au Panthéon.
Il s’agit de Robert Badinter, figure du combat pour l’abolition de la peine de mort, adoptée en 1981 dans la foulée de l’arrivée au pouvoir des socialo-communistes.
Cette mesure infâme, la sauvegarde de la vie de ceux qui sont coupables d’avoir ôté celle de victimes innocentes, est célébrée comme l’une des plus grandes avancées du régime, voire de l’humanité. Ce même régime qui célèbre la loi Veil sur l’avortement. Dans cette dichotomie apparaît la réalité crue de cette République mortifère : une politique sans pitié contre les innocents, et une clémence sans bornes pour les coupables.
La panthéonisation de Robert Badinter aujourd’hui, après celle – tout aussi scandaleuse – des époux Manouchian l’année dernière, est en train de transformer la crypte du Panthéon en véritable porte de l’enfer. La France, l’histoire, la mémoire et l’identité nationales méritent mieux que ces grotesques cérémonies d’autocélébration d’un régime antifrançais qui s’acharne à saccager le travail, la famille, la patrie et nos valeurs de civilisation.
Jamais à court de mauvaise plaisanterie, le Premier ministre Sébastien Lecornu a cru bon de faire la promotion de l’abolition de la peine de mort, ce matin sur France info, en citant le 5ème commandement divin « tu ne tueras point », alors justement que ce commandement vise à protéger la vie innocente et évidemment en aucun cas à protéger les criminels barbares.
Le Mouvement National-Catholique demande le rétablissement de la peine de mort pour les crimes les plus graves, peine au sommet d’une Justice dirigée vers le bien commun, et non vers les innombrables « secondes chances » dont seuls les criminels bénéficient, car la peine de mort existe toujours, et de plus en plus, pour les victimes.
Bruno Hirout, Président du Mouvement National-Catholique